La Loire à vélo (2023)

La Loire à vélo, qu’est-ce que c’est. Et bien, comme son nom l’indique, c’est un itinéraire cyclable sur l’Eurovélo 6. Cette dernière, dans son intégralité, relie la mer noire (Constanta en Roumanie) à l’Atlantique (Saint-Brevin-les-Pins en France). En ce qui me concerne, j’ai réalisé la partie entre Nevers et Nantes.

Pour me rendre à Nevers, j’ai pris un train depuis Paris (gare de Bercy) et suis revenue de Nantes aussi en train (TGV). Ce voyage a eu lieu du 14 juin au 25 juin 2023.

Préparatifs

Le plus gros changement par rapport aux autres voyages à vélo, est la conséquence de pourquoi il n’y en a pas eu en 2022. C’est le vélo qui change. J’ai enfin réussi à m’acheter le vélo de voyage Decathlon Riverside Touring 900 qui sera bien plus pratique que mon VTT pour faire ce genre de voyage.

J’ai également remplacé mes sacoches pour prendre les Ortlieb Bike-Packer Plus pour l’arrière et les Ortlieb Sport-Roller Plus pour l’avant. Bien plus de place que lors de mes précédents voyages donc.

Le départ !

Et voilà, le jour J est arrivé. Lever à 4h15 pour prendre le 1er et train à Mériel direction Paris

Puis, il aura fallu pédaler jusqu’à la gare de Bercy et prendre un Intercité direction Nevers, point de départ de mon périple (mais pas de La Loire à vélo).

Jour 1 : Nevers – Sancerre

A mon arrivé à Nevers, j’ai pris un peu de temps pour faire un tour de la ville que je ne connais pas du tout.

Quelques photos de ma balade dans Nevers.

Après ma petite balade, départ pour mon parcours, avec un premier détour pour aller voir le très joli village de Apremont-sur-Allier.

Puis, les choses sérieuses ont commencé !

Le parcours est très bien fléché, un 9,5/10. Très roulant mais un peu désertique. En fait, on ne passe pas par beaucoup de village. Un coup on suit le canal parallèle à la Loire, un coup la Loire.

Petit passage vite fait par la Charité-sur-Loire et c’est reparti. En fait, il était prévu que je m’arrête là mais pour des raisons d’organisation pour mes entraînements en course à pied. En effet, en plus de faire ce road trip, j’ai une préparation pour une course à pied début juillet qui continue. Allier les 2 ne va pas être simple mais je ferais ce que je peu. J’ai donc préféré faire une grosse étape, 92 km en poussant jusqu’à Sancerre pour que les 2 prochaines étapes soient un peu plus cool.

Bon, si vous avez suivi la Vélodyssée, Elodie à repris la même idée. Voici donc le petit mot du jour d’Élodie !

Il ne me reste plus qu’à aller manger.

Jour 2 : Sancerre – Gien

Aujourd’hui, plus petite étape qu’hier. Un peu plus de 71 km sur cette étape qui me permet de relier Gien.

En partant ce matin, il faisait bon avec un peu de nuages haut dans le ciel, c’était très agréable de faire du vélo par ce temps.

Oh, une usine à fabriquer des nuages !

La journée continue d’être belle mais la chaleur commence à se faire ressentir. J’y vais donc tranquillement.

Arrivé à Briare, après la pause déjeuner, je croise un pont canal, ça fait bizarre ces 2 masses d’eau l’une au-dessus de l’autre !

A partir de ce moment, il me reste 13 km à faire sans compter le détour pour aller m’acheter une serviette vue que c’est l’unique chose que j’ai oublié. Il faut bien oublier quelque chose en même temps !

J’ai donc fini cette journée par mon installation au camping, un peu de lessive, et du réconfort… (de là où j’écris cet article, en 2 temps donc, vous le comprendrez 😉)

Et avec un petit intrus !

Demain, journée encore plus tranquille. Demain matin, course à pied et puis départ tranquillement vers Orléans ou un peu avant. Et pour finir, le mot du jour d’Élodie !

Et le petit coucher de soleil pour clôturer cette journée.

Jour 3 : Gien – Orléans

Très mal dormis cette nuit, merci les grenouilles et les oiseaux ! Résultat, je me lève déjà fatigué et faut que j’aille courir. Grosse séance de fractionné en plus.

Dès les premières minutes, je sens que ça ne va pas le faire et effectivement, j’ai complètement raté ma séance. Bon, au moins, j’ai quand même couru 13 Km, tout n’est pas perdu !

Bon, revenons à nos moutons. Je pars donc plus tard que d’habitude, il est pratiquement 10h30 et il fait déjà très chaud. Pas un nuage dans le ciel et le parcours n’est pas vraiment à l’ombre.

Encore une fabrique à nuage, et ça marche en plus !!!

Et puis, je fini par arriver à Sully-sur-Loire sur l’heure de midi. Il s’agit donc là de mon premier château de la Loire.

J’achète de quoi manger et me voilà reparti, aucun autre intérêt dans cette petite ville et aucune commodité pour pouvoir se poser à l’ombre pour manger. Je trouverais un peu plus loin en bord de Loire.

En chemin, je croise un cimetière, comment dire, très particulier. Je vous laisse voir sur les photos !

Je suis ensuite mon petit bonhomme de chemin malgré la fatigue. Je commence à regarder où dormir et je vois 3 possibilités. Jargeau ; Chécy ; Orléans. Je jette mon dévolu sur Chécy, le camping me plaît et la distance pour l’atteindre aussi.

En cet après-midi, quelques nuages ont fait leurs apparitions, ce qui n’est pas sans me déplaire. Par contre, il fait toujours aussi chaud.

Mais, après avoir passé Jargeau, je trouve le temps long et commence à être très très fatigué. Je regarde alors le GPS pour voir où j’en suis. Et malheur, Chécy est de l’autre côté de la Loire et devinez quoi, il n’y a pas de pont pour traverser 😤😭. Je suis obligé de pousser jusqu’à Orléans et je suis déjà exténué. 82 Km aujourd’hui …

Pas le choix, j’y vais donc, je suis sur la réserve.

J’arrive enfin au camping. Le pire camping que j’ai fait. N’y allez jamais (Camping Municipal Gaston Marchand à St Jean de la Ruelle) : accueil déplorable, rien de rien à part les emplacements pas top (le miens a même des orties) et des sanitaires, pas très propres. Résultat, je me suis sauvé directement après installation et douche pour aller au centre d’Orleans (d’où je vous écris en sirotant une petite bière). Par contre, j’y suis allé en Tram !

Et pour finir, comme chaque jour, le petit mot d’Élodie

Jour 4 : Orléans – Blois

Après une nuit encore compliquée, me voilà réveillé à 7h. Je me prépare tranquillement pour un départ à 9h.

Aujourd’hui, j’ai décidé d’y aller cool et de ne pas me mettre la pression. En partant, je n’ai aucune idée de ma destination finale.

Les Km de la matinée s’enchaînent tranquillement, pas grand-chose à voir si ce n’est le château de Meung-sur-Loire.

En parlant de château, j’ai pris une décision. Faut dire que j’ai le temps de réfléchir sur mon vélo ! J’ai donc décidé que je ne ferais aucune visite intérieure des châteaux (sauf cas de force majeure liée à la pluie par exemple 😉). J’ai l’intention de refaire ça en famille et nous les visiterons à ce moment-là.

Ce château est juste magnifique. En plus, il n’y a pas eu trop de monde pour un samedi, je m’attendais à pire.

J’ai ensuite repris la route pour m’arrêter dans un camping juste avant Blois. Au total 71 km pour aujourd’hui. L’avantage, comme je suis parti tôt, c’est que je suis arrivé tôt et j’ai donc pu profiter un peu de la piscine.

Demain, direction Amboise si tout se passe bien, en faisant un petit détour par Chenonceaux mais sans oublier le petit footing matinal (l’entrainement continu).

Pour finir, le petit mot d’Élodie

Jour 5 : Blois – Amboise

Réveil 7h, et hop, je me prépare pour aller courir. 75min mais en allure fondamentale (cool). Ça passe même si à la fin, j’en avais marre.

Le temps de me doucher et de plier bagage et me voici sur la route. Aujourd’hui, j’ai décidé de faire mon stop à Amboise. Si vous regardez, vous allez vous dire mais ça ne fait pas beaucoup, il n’y a que 36km.

Seulement voilà, par les parcours cyclables, c’est toujours un peu plus long et en plus, je souhaite aller à Chenonceaux, ce qui fait un détour non négligeable !

Sur la matinée, pas grand-chose d’extraordinaire ! Juste quelques vues de Blois, le reste, jusqu’à Chaumont-sur-Loire, que des petites routes sans aucun intérêt.

Après la pause déjeuner à Chaumont, je pars pour le château de Chenonceaux et c’est là que ça se complique.

Beaucoup de montées et faut le dire, je n’ai pas les jambes. C’est très compliqué pour moi d’arriver jusque là-bas. En plus, je n’ai plus d’eau et il y a une chose que j’ai oublié : on est dimanche et le dimanche en province, tout est fermé !

Alors, Chenonceaux, c’est comme pour le château de Chaumont, si vous ne payez pas, impossible de voir le château, contrairement à Chambord. Je ne supporte pas ce business model basé sur la vente forcée. Il devrait y avoir un prix différent pour visiter le domaine sans le château. Bref, à Chenonceau, j’ai payé car ça m’a coûté tellement d’effort pour y arriver mais je me suis refusé de rentrer dans leur racket organisé. Imaginez un peu qu’ils arrivent à vendre la petite bouteille d’eau à 3€. C’est juste un scandale.
Personne ne devrait participer à ça !

Le retour vers Amboise a été à peu de chose près comme l’aller mais avec une distance un peu moins grande. Par contre, toujours aucun intérêt sur le parcours.

Une fois arrivé au Camping, je n’ai même pas pu m’installer tout de suite, j’ai dû attendre que l’orage, particulièrement intense, passe. Mais tout fini toujours bien et le soleil est revenu rapidement.

Demain, aucune idée de mon point de chute final. Ce sera donc la surprise.

Et pour finir, le mot d’Élodie en ce jour particulier.

Jour 6 : Amboise -Villandry – Bréhémont

Levé tôt encore ce matin sous une grosse rosée, ce qui est la première fois depuis le début de mon périple. J’ai dû me résoudre à plier la tente mouillée car impossible de la faire sécher en l’absence de soleil.

Me voilà parti direction Tours sans aucun timing à respecter, je ne suis pas pressé.

J’arrive tranquillement à Tours. Je décide de faire le tour de la ville sans me presser mais je dois avouer que la ville n’est pas terrible du tout. Je m’attendais à beaucoup mieux !

La place avec les vieux immeubles à colombages pourrait être magnifiques mais ils l’ont abandonné aux cafetiers qui l’ont rempli de tables hideuses. Le laisser faire à la française ou l’argent passe avant tout !

Je m’en vais donc retrouver mon parcours, cet aparté citadin ayant déjà trop duré, d’autant que la pluie commence à tomber tout doucement.

Me voici parti vers Villandry. La pluie tombe maintenant de manière soutenue, je suis trempé. Du coup, les km défilent, n’ayant pas trop le cœur à m’arrêter prendre des photos.

J’arrive donc à Villandry trempé. J’aimerais manger mais je ne trouve pas grand-chose. Il y a une petite épicerie qui ne fait que « épicerie fine » (on se demande !), les restos ne m’attirent pas et la boulangerie, je préfère ne pas en parler. Je tape donc dans mes réserves et trouve un abri pour déjeuner avec un groupe de Normands avec qui j’ai passé un agréable moment.

Après cette pause qui a duré une peu et un café pour se réchauffer, je décide d’aller quand même visiter les jardins du château de Villandry. Et devinez quoi, au moment où je rentre dans les jardins, la pluie s’arrête et le soleil perce timidement.

J’y passe un peu de temps, je les trouves vraiment très beaux. Beaucoup de photos du coup.

Je reprends donc la route, après avoir regardé les campings aux alentours et décide de m’arrêter à Bréhémont, un petit village sans grand intérêt à 15 km de là. Je fais un petit détour en chemin par Langeais, qui a un peu plus de caractère et pour m’acheter des boules Quies car j’en ai marre de tous ces animaux qui, une fois la nuit tombée, braillent à n’en plus pouvoir. Ils ne peuvent pas dormir en même temps que nous !!!

Une fois arrivé à mon camping et installé, je suis allé me détendre dans la piscine. Puis, j’ai pris l’apéro, installé sous un abri car la pluie est revenue !

Demain j’ai prévu une toute petite étape en allant visiter le château d’Azay-le-Rideau pour finir à Chinon. En fait, je ne sais pas trop pourquoi mais j’ai beaucoup d’avance sur le planning que je m’étais fixé. J’ai dû me planter à un moment de la préparation. Cela m’arrange, les 2 prochaines étapes vont être cool, ce qui va me permettre d’aborder ma séance intensive de course à pied plus sereinement (enfin, je crois).

Je fini donc cette journée avec le mot d’Élodie.

Jour 7 : Bréhémont – Azay-le-Ridzau – Chinon

Réveil vers 7h15 et un bel orage pour commencer. Ça n’est jamais très agréable en camping. A ce moment-là, il ne me reste plus qu’à patienter, ce qui est largement faisable vu la longueur de mon étape du jour.

J’arrive bon an mal an, entre 2 averses à plier ma tente et ranger mes affaires. Départ vers 10h. Il ne pleut plus mais le temps est très gris.

Direction Azay-le-Rideau et une rencontre en chemin, stoïque la chèvre !

Je n’arrive pas tard, je fais donc quelques courses pour manger le midi et m’en vais visiter le château.

Après ma petite pause méridienne, je prends la route pour Chinon en faisant un détour par l’île-Bouchard.

On m’a dit qu’il y avait une belle église là-bas ou la vierge y serait apparue. Ayant un peu de temps, j’y vais donc mais voici la belle église !!!

Et pour couronner le tout, à partir de là, qui a fait son grand retour ? Et oui, la pluie. Ça n’a pas arrêté de tout le chemin jusqu’à Chinon. Et comme par hasard, ça s’arrête juste quand j’arrive au camping. Bon, pour mon installation, c’est quand même mieux.

Après m’être installé, je suis parti visiter la Forteresse Royale de Chinon.

Au total, que 45 Km de vélo mais beaucoup de marche à pied et de grimpette dans la forteresse. Demain sera probablement encore une petite étape.

Et le petit mot d’Elodie pour la fin !

Jour 8 : Chinon – Saumur – Gennes-Val-de-Loire

Enfin, le soleil est revenu. Ma journée commence donc pas ma séance test en footing pour mon 10km prévu le 2 juillet. Séance réussie même si pas facile. Le moral remonte à ce niveau-là.

De retour et même si le soleil est revenu, j’ai pas mal d’affaires qui ne sèche pas. Je mets tout ça en plein soleil et retarde un peu mon départ (ça n’aura pas suffi). Je pars donc à presque 11h, j’y vais tranquillement.

Me voici arrivé au confluent de la Vienne et de la Loire.

Puis, je traverse quelques beau village et vignes en allant jusqu’à Saumur.

J’ai même traversé un centre commercial sur mon parcours !

Arrivé à Saumur, je dois dire que je m’attendais à un peu mieux. Résultat, vu que je ne suis pas en avance et que le fléchage laisse un peu à désirer, j’y passe assez vite pour arriver 20km plus loin sur mon lieu de nuit. Étape de 57 km pour aujourd’hui.

Demain, avant dernière « vraie » étape pour rallier Montjean-sur-Loire, un peu après Angers.

Et comme toujours …

Jour 9 : Gennes-Val-de-Loire – Angers – Montjean-sur-Loire

Réveil sous la pluie ! Ce n’était pas prévu et mes affaires sont restées dans les sacoches sur le vélo. Le temps d’aller les chercher, je commence donc la journée bien mouillé 😡. Heureusement qu’un barnum est mis à disposition par le camping pour les cyclistes. J’ai pu prendre mon petit déjeuner au sec.

La météo annonce 50 min sans pluie, je me dépêche donc, avec les autres cyclo-campeurs comme moi de plier la tente et ranger mes affaires tant bien que mal.

Départ peu avant 9h30 avec la pluie qui est revenue et qui aura persisté quasiment toute la matinée. Du coup, les Km s’enchaînent car il n’y a pas trop d’arrêts.

Très vite donc, J’arrive à Angers. Je fais un petit tour en ville et je dois dire que c’est vraiment pas mal de ce que j’en ai vu. On dirait qu’il y a une douceur de vivre et que les gens sont moins stressés qu’ailleurs. Je crois bien (peut être avec Chinon) que c’est la meilleure ville que j’ai traversée.

J’ai fait ma pause méridienne peu après Angers, sur les bords de Loire avec le soleil qui commence à revenir. Y’a pire !

L’après-midi sera calme, sans pluie, sur un parcours où je n’aurais pas rencontré grand monde.

A un moment, je croise un drôle de cadran solaire, au sol !

Mais où est le bâton pour indiquer l’heure ?

Faut que j’essaye …

Et ça marche ! Mais quelle heure est-il ? Midi, bah non, à midi j’étais à Angers. Il est 14h, avec l’heure d’été il y a bien 2h de décalage sur le soleil.

Retour sur mon parcours jusqu’à Montjean. Résultat, 74 Km pour aujourd’hui.

Demain, petite étape car je n’aime pas le camping de Nantes, du coup, je m’arrête 10km avant. Les 10 derniers Km seront pour samedi matin pour attraper mon train. Pas de stress, pas de fatigue, ça sent la fin.

Le p’tit mot, qui a pris aussi la pluie !

Jour 10 : Montjean-sur-Loire – Ste-Luce-sur-Loire (Nantes)

La journée commence tranquillement par un petit footing à allure modérée de 40 minutes.

Je plis ensuite mes affaires et m’en vais sous un beau soleil.

J’y vais donc tout doux, direction un peu avant Nantes pour un camping en bord de Loire.

Rien de vraiment spécial sur cette étape, on passe quelques villages sans grand intérêt. Des vues sur la Loire sympathique et c’est à peu près tout.

Je prends ma pause méridienne en bordure de Loire à Ancenis

Puis je repars pour arriver à mon camping pas très tard (15h30) et 61 Km en tout pour aujourd’hui.

Demain, aucun stress non plus, mon train est à 13h, ce qui me laissera un petit peu de temps pour me balader dans les environs de la gare de Nantes.

Et ont fini toujours par la même chose.

Jour 11 : Ste-Luce-sur-Loire – Nantes – Paris – Mériel

Voilà, c’est le dernier jour, il faut rentrer. Il n’y aura pas beaucoup de vélo aujourd’hui. Une dizaine de km pour aller à Nantes puis le retour de Gare Montparnasse à la maison.

Je pars du camping sur le coup de 9h15 et j’arrive très vite à Nantes.

Petit tour dans la ville que je connais déjà pour y avoir commencé ma Velodyssée dont le récit est disponible ici mais aussi pour y être venu en hiver entre les fêtes.

Ayant un peu de temps, je fais un tour dans les coins que j’aime bien.

Je gagne ensuite la Gare et prend mon train.

Il ne me restera ensuite que le trajet entre la Gare Montparnasse et la maison, environs 35km. Peut-être bien les plus dur finalement 🤣.

Et enfin, le dernier mot du jour !

La Loire à vélo – Le Bilan

Voici le bilan de mon voyage à vélo tout au long de la Loire (ou presque).

L’itinéraire majoritairement plat ne m’aura pas fait rencontrer de grosses difficultés.

Au cours de ce périple, en plus du fil conducteur qu’aura été la Loire, j’ai donc aussi croisé l’Allier, le Cher, l’Indre, la vienne et la Sarthe, tous affluent de la Loire (je suis un peu moins bête maintenant 😉).

Globalement, je suis satisfait de ce voyage même si, au fond de moi-même, je m’attendais un peu à mieux, surtout au niveau des châteaux.

Si c’était à refaire, je le referais donc mais par contre, je pense que c’est largement faisable en 1 ou 2 jours de moins. J’ai mal évalué mon sujet lors de la préparation.

Niveau chiffres, j’ai fait environ 760 km à vélo sans oublier les 45 Km en course à pied pour la préparation de mon 10 km de début juillet.

L’année prochaine, peu de chance que je fasse un voyage en vélo. Je vais me concentrer sur ma préparation pour le marathon des Jeux Olympiques qui aura lieu le 10 août.

Fin

Crédits : Toutes les photos de cet article ont été prise avec mon iPhone 12 pro max. Photos non libres de droits